Il y a très peu d'habitations au coeur du quartier Sud, il n'y fait pas bon vivre et peu d'habitants choisir d'y élire résidence. Malgré tout certains malfrats ont établi leur domicile dans des maisons plus ou moins grandes situées pour la plupart d'entre elles à seulement quelques encablures de la taverne.

Etroites et sombres les ruelles du quartiers sud regorgent de cachettes et de planques dissimulées. Le soleil ne pénètre que peu entre les murs des habitations et commerces illégaux. On raconte que se promener dans une ruelle du quartier sud en pleine nuit c'est souvent perdre et la bourse et la vie.

Lorsque vous ouvrez la porte du cafard insatiable c'est une odeur épaisse d'alcool et de crasse qui vous prend le nez, des rires gras et de jeunes prostituées ont également investit les lieux. Pourtant quand on observe mieux on distingue un ameublement distingué et élégant en total opposition avec la clientèle souvent rustre.

Sur une petite échoppe on peut lire le panneau battu par le vent : Picsuif, herboriste. Chez PIcsuif vous ne trouvez point d’antidote à un poison ou de douce tisane pour faciliter vos nuits. Mais derrière le comptoir, dans un bric à brac de fioles et de plantes séchées, vous trouverez divers poison et drogues. Tout y cher et bien souvent mortel, on n'a rarement vu personne fréquentable rentrer chez Picsuif.

Le repaire est un vieux bâtiment datant du premier âge d'Imvalla et qui désormais tombe quasiment en ruine. Éclairé par quelques légères bougies, le repaire est un lieu sombre et froid où seulement quelques tables font décoration. C'est ici que les malandrins de la ville se réunissent pour discuter affaires. C'est aussi le centre du marché noir de la cité.